La commune de Champtocé-sur-Loire est traversée du nord au sud par La Romme, une rivière qui alimente la 'boire', un ancien bras de la Loire dans lequel un dolmen a été découvert lors de la sécheresse de 1976
Le château de Gilles de Rais, natif de Champtocé et compagnon d'armes de Jeanne d'Arc, domine le bourg depuis le 13ème siècle. Il a été endommagé à plusieurs reprises lors des guerres entre le royaume de France et le tout proche duché de Bretagne.

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À la confluence de la Maine et de la Loire, Bouchemaine offre un cadre exceptionnel mêlant richesse historique, patrimoine architectural et environnement préservé. Cette commune ligérienne, aujourd’hui prisée pour son cadre de vie, puise ses racines dans une histoire millénaire.

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Nichée au bord du Layon, et blottie au pied des coteaux, la commune est aujourd’hui connue pour ses vins de qualité.
Son passé est marqué par la présence d’Isabelle de Beauvau, reine de France, dans la forteresse de la Basse Guerche construite par son père.
Au XIXème siècle, la houille puisée dans ses mines et le calcaire produit dans ses carrières, fournissaient la matière première pour fabriquer de la chaux dans les nombreux fours disséminés sur son territoire.
En hiver, l’eau de la Fontaine de la Madeleine, à 15 degrés, produit une vapeur surprenante.
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Épiré est une ancienne paroisse qui, depuis 1795, fait partie de la commune de Savennières

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Les Essarts (alias La Touche-aux-Anes)
Aujourd’hui simple hameau, cette ancienne paroisse était un prieuré relevant de l’abbaye de Saint-Georges. Absorbée par Saint-Léger-des-Bois à la Révolution, son église fut démolie en 1863. Mais une chapelle, bien restaurée, avait été édifiée à proximité en 1766, au lieu-dit la Touche-aux-Anes, ancien relais sur la route de Rennes.

Ingrandes-le-Fresne-sur-Loire est une commune nouvelle résultant de la fusion de la commune d'Ingrandes, située en Maine-et-Loire, à celle de Le-Fresne-sur-Loire, autrefois située en Loire-Atlantique. Du fait de sa position, Ingrandes a été, depuis le Moyen-Age, une ville frontière entre les provinces d'Anjou et de Bretagne.

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La paroisse, créée au XIIème siècle près de la motte féodale de Belle-Noue, fut réunie à celle de Saint-Martin-du- Fouilloux, pourtant plus petite, en 1790 ; en 1800, les deux communes fusionnent sous le nom de Saint-Martin-du-Fouilloux. L"ancienne église paroissiale est démolie en 1823. C’est aujourd’hui un gros hameau.

Ruzebouc à l’origine, attesté au XIIe siècle, puis La Pointe au XVIIe siècle, l’ancien village est situé près du confluent de la Loire et de la Maine, l’extrémité des terres entre ces deux cours d’eau formant une pointe. Le village de La Pointe qui s'étire le long de la Loire et de la voie ferrée, à l'ouest, fait partie de la commune de Bouchemaine.

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La commune des Ponts-de-Cé marque l'entrée de la Loire dans le Massif Armoricain, massif qu'elle ne quittera plus jusqu'à son embouchure. Son existence est attestée dès l'an 889 sous le nom de Castro Seio d'où elle tire probablement son nom. Elle est également baignée, outre la Loire, par l'Authion et Le Louet. La commune résulte d'abord de la fusion des paroisses de St Aubin et de St Maurille puis de la fusion avec la commune de Sorges.

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La tête au vent et le pied dans l’eau, avec ses vestiges de moulins au sommet de ses coteaux et la Loire qui vient la cajoler, La Possonnière est résolument tournée vers son fleuve. Elle est marquée d’un passé encore proche, par la pêche professionnelle et par la « Marine de Loire ».

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Son relief très accentué donne à Pruniers beaucoup de pittoresque. Les rochers du bord de Maine se dressent presque à pic le long de la rivière.

A l’heure où le soleil commence à descendre à l’horizon, avec sa crête de pins, son clocher, sa ligne de maisons basses, ses champs qui dévalent en pente douce vers les prairies de la Maine, Pruniers offre un spectacle charmant.

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Le « Coteau du Layon », l’un des grands crus des vins d’Anjou, se cultive sur ses pentes gorgées de soleil.
Le Layon, aménagé au XVIIIème siècle, transportait la houille produite en amont ou dans les mines locales.
Cette houille et le calcaire puisé dans les carrières fournissaient la matière nécessaire à la fabrication de la chaux dans les nombreux fours disséminés sur tout le territoire.
Jean de Pontoise, fils du médecin du roi de France Henri II, a laissé une demeure superbe, devenue la mairie de la commune.
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La paroisse était un prieuré-cure dépendant de l’Abbaye de Saint-Georges dont relevait aussi, sur la même commune, le prieuré du Jaunay. La commune fut marquée par des évènements révolutionnaires : le nombre important des Volontaires, l’assassinat de l’ancien maire et ex-curé Panay de Champotier, une longue guérilla de la chouannerie.

Situé à proximité d’Angers dans le Maine et Loire, le village s’est développé autour de deux monuments majeurs : son abbaye dont les premières pierres furent posées au XIIème siècle et le château de Serrant. Nous vous invitons à découvrir son histoire et son riche patrimoine. Vous trouverez aussi, ce qui fait l’âme d’un village : ses petites histoires, ses faits divers et ses habitants.

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L'existence d'une paroisse est attestée depuis le 11ème siècle dans le cartulaire du Ronceray. En 1260 elle est citée sous le nom de Saint-Germain-de-la-Varenne puis Saint-Germain-des-Prés à partir de 1453.
Sur sa face sud, la commune est bordée par la Loire et inclut l'Ile aux Prunes. Située sur le bassin houiller de la Basse Loire, des concessions ont été ouvertes au milieu du 19ème siècle. Le château de la Missonnière, construit au 18ème siècle a appartenu à René La Combe (1915-1994), résistant, député de Maine-et-Loire et maire de Saint-Germain-des-Prés.

A 9 kilomètres d’Angers, Saint-Jean-de-Linières compte plusieurs pôles d’intérêt patrimonial : l’ancien relais de poste de la Roche-au-Breuil, la gare du Petit-Anjou (aujourd’hui musée) et l’église du XIIème siècle. Sa proximité d’Angers lui vaut un développement considérable. Elle est aujourd’hui fusionnée avec sa voisine dans la commune nouvelle de Saint-Léger-de-Linières.

Son appellation se fonde sur l’importance de sa surface boisée. Grossie du rattachement de la paroisse des Essarts à la Révolution, mais restée longtemps rurale et pauvre, c’est aujourd’hui une commune suburbaine en rapide croissance démographique. Elle est depuis 2019 fusionnée avec sa voisine dans la commune nouvelle de Saint-Léger-de-Linières.

Autrefois pauvre village, Saint-Martin ne brille pas par un patrimoine remarquable. Mais elle offre un bel environnement naturel, notamment le Bois du Fouilloux classé « espace naturel sensible ». C’est aujourd’hui une commune prospère de la deuxième couronne angevine.

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